adidas Logos: History and Meaning

 

Ever wondered how the adidas logos came to be? Discover the history of adidas logos and the purpose behind each design evolution, from 1949 until today.

A brand’s logo is a central piece of its identity—and the adidas logos are no exception, with a history as dynamic as the brand itself. Naturally, just as adidas has evolved and progressed over the years, so have its brand marks.

1949: The Beginnings

The story of the adidas logos begins with the birth of the adidas brand. At the time it was founded by Adolf Dassler in 1949, adidas only produced sports shoes. So, it should come as no surprise that the original logo for adidas featured just that. The very first logo showcased a track and field spiked shoe—with the signature 3-Stripes, of course—sitting between extended tails on the two d’s in adidas. “Sportschuhe” (“sports shoes” in German) is written beneath adidas, and the logo often appeared in a shade of blue that has become classic for the brand.




Fun fact: The new collaboration with Jerry Lorenzo of Fear of God features the Sportschuhe adidas logo for an old-school throwback moment. 
 
This logo, along with the 3-Stripe trademark that began to appear on every shoe (and eventually apparel) is what started it all. Those telltale stripes, by the way, don’t hold numerological meaning. They ended up on the first pair of adidas shoes after Dassler had tested several versions and numbers of stripes and found that three simply showed up most prominently in photography—an important factor for a new-to-the-scene sports gear brand hoping to make a splash. Clearly it worked, as the 3-Stripes continues to be a world-famous trademark that symbolizes adidas.  
 

1970's: The Introduction Of The Trefoil


A new logo was added in 1972, when adidas branched out from solely selling shoes and introduced apparel for the very first time. Enter the Trefoil, which was designed by a small, collaborative team of adidas leaders and a couple designers from a German creative agency. Inspired by florals, the new logo featured three leaf-shaped foils to stay consistent with adidas’ notoriety as the brand with the three stripes. Ever present, the 3-Stripes runs through the leaves.  
 
You’d find this adidas logo on clothing from 1972 and on shoes from 1976, onward—and since 2000, it became reserved for all Originals products to pay homage to the heritage of the brand.  
 

1990's: The Introduction Of The Equipment Logo and Three Bars


In 1989, with the help of a visionary designer and creative consultant, we sought out to create a new logo. Inspired by the fact that adidas has always been committed to equipping athletes with the best gear possible, the adidas Equipment logo was created. This mark came about from sketching those famous three stripes the way they’re seen from the inside of an adidas shoe. The new Equipment logo, released to the public in 1991, featured the 3-Stripes in a three-bar arrangement, with the words “adidas EQUIPMENT” sitting below in adidas’ sporting green color.  
 
This logo likely feels familiar to you since the Three-Bars have since been adapted for use as part of various marks for the brand, including the Badge of Sport introduced in 1996. In this logo, the Three-Bars is combined with the adidas wordmark. You’ll also now see the Three-Bars appear alone in the newly minted Performance logo. 

Clearly there isn’t a single logo for a brand as dynamic and expansive as ours. But if you’re looking for a simple answer to the question “What is the real logo of adidas?”, here it is: We use the Performance logo as the main brand mark of adidas, as the uniting core mark that serves as an umbrella to all the brand segments.  
 
But the more complete answer is that there are indeed multiple logos, each with their own usage. For 2023, adidas has refined its brand marks for each of the main sub-brands—so here’s what you can expect. The refined Performance logo, which you now know doubles as our brand mark, represents the best product for athletes. Then there’s the Badge of Sport, which has been repurposed as the mark for adidas Sportswear. This logo represents products that are born from sport and built for life. Last but not least is the Trefoil, the main brand mark of adidas Originals. This logo represents products that are icons of the past and future. By the way, while you’ll only spot the Performance and Sportswear logos in black and white, the Trefoil is often seen in black and white or the iconic Originals blue.  
 
And if there’s one constant you can always recognize, from the beginning of the history of adidas’ logos until now, it’s certainly the 3-Stripes. The world-famous trademark has come to represent quality product that’s rooted in sport. So, whether you’re throwing on some performance gear before a grueling workout or putting together an outfit from Originals that helps you express your style, you can feel proud sporting the brand with the 3-Stripes.

Source: adidas

70 ans chez adidas: La femme au tablier

 



Les clients, invités ou athlètes qui apparaissaient presque tous les jours devaient être pris en charge de manière exigeante, et initialement dans un très petit espace, principalement dans le grand salon de la villa familiale, qui a été construite dans le jardin de la propriété de l'entreprise. . En plein milieu se trouve Veronika Bretting, qui a maintenant 92 ans et travaillait comme femme de ménage à l'époque.

Elle est rapidement devenue connue sous le nom de "Vroni" par les grands sportifs, les principaux clients et les employés d'adidas, et a toujours été populaire et respectée. Typique d'elle à ce jour : sa vitalité, le sourire malicieux et sa "marque de fabrique" un grand tablier.

Dès son plus jeune âge, Bretting a appris à faire avancer les choses, a travaillé dans une boulangerie de Niederndorf, trait les vaches et aidé à la tonte. Elle a chargé des wagons pleins de briquettes dans des sacs - jusqu'à ce qu'une maladie de la gaine tendineuse signifie la fin. Une circonstance heureuse du point de vue d'aujourd'hui, car la sœur Dassler Marie lui a donné l'opportunité de carrière qui a déterminé toute sa vie : le 1er mars 1951, elle a commencé à travailler dans et pour la famille adidas. "Au début, j'étais un peu incertain si je serais accepté comme pomeranze de campagne. Mais dès le début, l'interaction a été agréablement décontractée et une précieuse relation de confiance s'est rapidement établie", explique Vroni, même si la fille de Dassler, Karin, a déclaré en tant que enfant "Je laisserai le nouveau seul ne me baigne pas".

L'affection mutuelle est même allée bientôt si loin que, par exemple, une date de mariage fermement planifiée de sa fille Inge a été reportée parce que "Vroni" avait déjà planifié ses vacances pendant cette période, mais ne devait pas être absente.

La patronne Käthe a même dit que "Vroni est la seule à qui mon mari peut parler" et quiconque a vécu la femme toujours constante au milieu de ce stress général comme une influence apaisante savait ce que cela signifiait. Bretting a été habituée à beaucoup de travail toute sa vie, mais étant pleinement acceptée par toute la famille, elle a toujours apprécié cet engagement tous azimuts au quotidien. En fin de compte, elle a non seulement accompagné la croissance des cinq enfants, mais était également populaire auprès des petits-enfants en tant que "bonne fée".

La famille préférait la cuisine maison et le "patron" préférait aussi son assiette de fruits du jour. Cette partie n'était donc pas un défi pour Vroni. Et elle a rapidement quitté la "pomeranza", le contact personnel avec Sepp Herberger, le grand gardien Bert Trautmann, Uwe Seeler, Fritz Walter et d'innombrables grands du sport mondial l'ont fait s'épanouir. Des salutations du monde entier leur parviennent encore aujourd'hui.

Au final, cependant, cette ruée vers la villa n'a plus pu être gérée. C'est ainsi qu'est né le projet du "adidas Sporthotel" ouvert en 1972. "Ce fut bien sûr un grand soulagement pour la famille et pour moi", déclare Bretting rétrospectivement. Le fait qu'elle n'a jamais été oubliée n'est pas seulement prouvé par les bons contacts qu'elle a avec ses filles Inge et Sigrid, mais aussi par les félicitations pour son 90e anniversaire de la part de personnes des cinq continents. Pour elle, les souvenirs tragiques incluent bien sûr la mort rapide d'Adolf et de Käthe Dassler ainsi que de leur fils Horst, "mort bien trop tôt". Karin et plus récemment Brigitte ont également dû mourir beaucoup trop tôt. Il ne restait donc à Vroni qu'à entretenir la villa jusqu'à sa retraite en 1991.

Source : nordbayern.

Discussion avec Dominique Wendling

 


Bonjour Dominique Wendling. Cette discussion a pour objectif de présenter votre parcours au sein de l’entreprise adidas France, avec son lot d’histoires, d’anecdotes, détails, etc. Mon souhait est de partager, et par la même occasion, archiver, votre vécu, afin d’enrichir les lecteurs sur le passé de la marque.

- Merci de vous présenter:
 
DW : J’ai fait des études en journalisme puis, après avoir effectué un long stage à la Voix du Nord à Lille et été pigiste aux DNA à Strasbourg, j’ai eu l’opportunité d’intégrer le service des sports des DNA pendant la dernière année de mon cursus universitaire, en décembre 1975. Je suis resté dans ce service jusqu’en mai 1986. Je garde un excellent souvenir de cette période, avec des collègues en majorité de ma génération et une grande latitude dans le travail. En 1986, j’ai été contacté par adidas pour intégrer les Relations Publiques avec en particulier les relations avec la presse (économique, sportive, professionnelle), la communication interne et des événements spéciaux comme, par exemple, le club adidas à Roland-Garros ou l’organisation de la remise du soulier d’or. J’en suis devenu le Directeur. Un changement d’organisation m’a conduit à prendre en charge une ligne de produits (le basket ball et la ligne vintage). Le job : assurer la gestion d’un centre de profit avec la création des produits pilotée par nos collègues des Etats-Unis, la sélection pour le marché français, le support aux négociations avec les comptes-clés, les prévisions, la communication. Avec des cycles de collection. J’ai ainsi été Business Unit Manager au moment du lancement du streeball (basket de rue) en France, une expérience très forte avec la mise sur pied d’un circuit dans de nombreuses villes en France. Une opération marketing qui nous a valu le Phénix du Sponsoring en 1992. Pendant ce temps, la société était entrée dans une phase de restructuration faisant passer l’entreprise d’une entité dédiée à la fabrication (avec des nombreux sites en France comme Dettwiller, La Walck, Marmoutier en Alsace, Nontron en Dordogne, Chaligny en Moselle, St Vincent de Tyrosse dans les Landes et Libourne en Gironde pour la France) vers une société dédiée au marketing avec une production délocalisée vers les pays de l’Est et le Sud-Est asiatique. Avoir la maitrise de son outil de production était longtemps une force, mais la chute du dollar en a fait un handicap face aux rivaux (Nike et Reebok) qui émargeaient et qui n’avaient aucune usine en propre et sous-traitaient toutes leurs commandes. La restructuration passée avec la fermeture des usines en France, le DG de l’époque m’a proposé de prendre et relancer les RH, le fait d’être issu du marketing, le métier fort et d’avoir assuré la communication interne ayant été des atouts. J’y ai appris avec beaucoup de plaisir un nouveau job et ai pu, avec mon équipe, implanter une nouvelle logique (recrutements de jeunes diplômés, formation, mobilité interne, bien-être au travail etc…). J’ai quitté l’entreprise à regret en 2002, le nouveau DG souhaitant apporter une autre logique, mais mon attachement à l’entreprise est resté puissant.


- Qu’est-ce qui vous a conduit à travailler chez adidas ? Comment êtes-vous entré chez adidas ?

DW : Ils cherchaient plutôt un journaliste de sport. Côtoyant régulièrement les dirigeants d’adidas, qui invitaient la presse lors de la venue de grands champions au siège de Landersheim dans le Bas-Rhin, les choses se sont faites naturellement. Pour moi, c’est quasiment un rêve qui se réalisait tant l’image de la marque était puissante.

- Quelle est votre quotidien pour le/les poste(s) occupé chez adidas ?

DW : Il était multiple et c’est ce qui était passionnant. L’objectif étant de contribuer à valoriser l’image de marque de l’entreprise. Il fallait assurer les relations avec la presse (communiquer les signatures avec des athlètes, organiser des conférences de presse, des événements, et le placement de produits dans le cinéma, le show biz ou les journaux de mode). Les temps forts étaient la quinzaine de Roland-Garros où adidas était un acteur très important avec des soirées VIP comme la fête consacrée à Stan Smith, en présence du champion, pour l’entrée dans le livre Guiness des records à l’occasion des 22 millions de Stan Smith vendues dans le monde. C’était en 1990 où tous les invités étaient chaussés de la chaussure blanche mythique. Comme l’organisation de la remise du soulier d’or à Diego Maradona au Lido ou le Grand Prix des Champions réunissant champions français et journalistes à La Plagne. Il y avait aussi le sponsoring hors stade comme le Tour du monde en ULM réalisé sur 30 mois par Patrice Francheschi qui a connu un très grand succès. De grands moments !

Pour le poste de Business Unit Manager, c’est davantage l’aspect marketing et ventes qui a prévalu avec en particulier la gymnastique liée à suivre les ventes des collections en cours, de finaliser la suivante et d’ébaucher déjà celle qui allait lui succéder.

Quant aux Rh, c’était de lancer une vision nouvelle des Ressources humaines avec de nouveaux outils, un effort puissant vers la formation et le recrutement de jeunes talents, la communication interne mais aussi, hélas, assurer de manière la moins douloureuse possible la fermeture de sites de production.

- Pouvez-vous nous en dire plus sur votre rôle d’éditeur de la gazette adidas News ?
DW : Il manquait alors un lien entre adidas et les acteurs du monde économique et sportif (presse, VIP, clients, sportifs sous contrats etc…). Adidas News faisait ce lien en donnant l’actualité de la marque à partir de 1987. Nous avions un autre journal, mais réservé aux collaborateurs, qui s’appelait Relais.


- Quelles sont les collections travaillées durant ces années ?
(Modèles chaussures, lignes vêtements, etc.)

DW : Durant l’époque où j’y ai travaillé, adidas a connu plusieurs best-sellers comme les World Cup ou la Predator en football, la gamme ZX en running, la Forum en basket pour les chaussures, mais aussi le survêtement Challenger. A l’époque, adidas avait aussi une gamme de raquettes fabriquées en France. Ivan Lendl était à l’aise avec une des raquettes avec un tamis réduit et lorsque la mode est passée vers des tamis plus grands, il a préféré rester fidèle à sa raquette considérant que c’était son outil de travail.

- Etes-vous le photographe de la fameuse photo d’Abdul-Jabbar dans l’usine adidas à Dettwiller ? Que pouvez-vous nous dire sur sa venue ?

DW : Kareem Abdul Jabbar faisait partie des vedettes internationales comme Edwin Moses, Dick Fosbury, Sergei Bubka. Il était alors un des meilleurs joueurs aux Lakers en NBA et avait contribué à lancer la superstar, première chaussure de basket en cuir. Cette chaussure était fabriquée à Dettwiller en Alsace et il était un des premiers athlètes à avoir une chaussure spécialement adaptée à ses pieds. C’est la raison pour laquelle, il venait en France rencontrer les techniciens, leur faire part des remarques pour avoir le produit le plus adapté à ses besoins. Il est venu à plusieurs reprises bien avant même que je ne sois chez adidas, mais je l’avais rencontré avec ma casquette de journaliste. Pour répondre à la question, non la photo dans les locaux de l’atelier de Dettwiller n’est pas de moi.


Echos sur adidas, période 1985/2000

                                            Dominique Wendling

 

Stan Smith aux pieds – En 1990, adidas entre au Livre Guiness des records grâce à la vente de 22 millions de paires de Stan Smith. C’est l’occasion d’une fête à Roland-Garros, en présence du champion de tennis et de nombreux VIP. A cette occasion, tous les invités avaient troqué leurs chaussures pour enfiler la mythique tennis blanche, une des premières en cuir, développée par le champion français Robert Haillet avant de devenir le symbole de la chaussure de sport descendue dans la rue.

Placement de produits – Grâce à une présence assidue à Hollywood d’Angelo Anastasio, de nombreuses vedettes internationales ont porté des produits adidas dans des films, sur scène ou dans leur vie. Parmi les succès, la série Starsky et Hutch, Superman.

Ballon alsacien – Le ballon officiel de la Coupe du Monde de football a longtemps été fabriqué à La Walck en Alsace qui a produit jusqu’à 2 500 ballons par jour en cuir ou en matière synthétique. Onze étapes étaient nécessaires pour réaliser le ballon parfait : 1. La préparation des matières, 2. Le collage et l’imprégnation des tissus de renfort, 3. La presse chauffante pour réactiver la colle, 4. La découpe des panneaux, 5. Le triage qualité, 6. Le marquage en sérigraphie des panneaux, 7. La fixation de la vessie, 8. La couture finale, 9. Le pesage du ballon, 10. Le lavage du ballon, 11. Le contrôle de la sphéricité par ordinateur, 12. L’emballage.

Raquette également alsacienne – En 1986, Ivan Lendl devient leader du tennis mondial. Il est équipé de pied en cap par la marque aux trois bandes : polo, short, chaussures et… la raquette. Une raquette à petit tamis, composée de fibre de verre, graphite, kevlar qui confère au modèle un très bon rapport poids-résistance-élasticité et beaucoup de rigidité permettant une restitution optimale de l’énergie. Elle est parfaitement adaptée au jeu tout en puissance d’Ivan et son coup droit destructeur. Cette raquette était fabriquée à Marmoutier dans le Bas-Rhin.

Onze sites – Jusque dans les années 90, adidas a compté onze implantations en France : Dans le Bas-Rhin, le siège d’adidas-France de Landersheim (depuis 1967), Dettwiller (1960), le premier siège mais aussi site de production de chaussures et bureau d’études, La Walck/Pfaffenhoffen (1960), fief du ballon mais aussi site de production de chaussures et à Marmoutier (1980), développement et production de raquettes. En Dordogne (1972), à Nontron, production de chaussures. Dans les Landes (1970), à Saint Vincent de Tyrosse, production de chaussures. En Gironde (1976), à Libourne, production textile. En Moselle (1986), à Chaligny, production textile. Dans l’Aube, à Troyes (1976), le centre d’approvisionnement européen pour le textile, le bureau d’études, le tricotage et la production textile. Et enfin en Ile de France, à Paris (1973) le magasin, show room et des bureaux, rue du Louvre et à Fontainebleau (1989), le centre de création mondial de textile.

Le grand bleu – Le film mythique de Luc Besson avec Jean Reno et Jean-Marc Barr a été l’occasion d’un grand moment pour adidas : sur la fameuse scène du piano, on y voit une paire de basket. L’occasion pour la marque de réaliser des posters de la scène et d’inviter des clients pour les premières dans les grandes villes.

Renaissance – En 1986, au plan mondial, adidas réalisait le même chiffre d’affaires que Nike et Reebok réunis. Mais l’entreprise a raté le virage du jogging/running qui a profité à Nike et celui du fitness qui a lancé Reebok. Après un sérieux passage à vide et une réorganisation, la marque est repartie notamment grâce à la relance de produits vintage des années 70. En particulier la chaussure Gazelle. Portée par le mannequin Helena Christensen, elle a fait la couverture du magazine Cosmopolitan en France qui a constitué le vrai déclic pour relancer les produits historiques.

Première – Adidas a été la première chaussure de basket en cuir à être portée par les basketteurs professionnels de la Ligue ABA puis de la NBA. Notamment la Superstar lancée par les Celtics de Boston puis des champions comme Kareem Abdul Jabbar.

Tour du monde – A côté de ses engagements sur les stades pour les athlètes, les clubs ou les fédérations, adidas était également présent sur du sponsoring. Comme le tour du monde en ULM réalisé entre septembre 1984 et mars 1987 par Patrice Francheschi qui a parcouru 40 000 km et traversé 34 pays avec un relais par les distributeurs d’adidas dans de nombreux pays.


Un énorme remerciement à Dominique pour son temps et sa sympathie.